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Lagune d’Emboodhoo
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Lagune d’Emboodhoo


C’est la capitale et la plus grande ville d’Égypte. Elle est située en amont du delta du Nil, sur les rives du fleuve ainsi que sur quelques îles adjacentes. Elle se trouve au nord du pays, à 220 km au sud-est d’Alexandrie et 150 km à l’ouest du canal de Suez. La ville actuelle présente une grande diversité urbanistique et architecturale.
Le centre historique de la ville comprend le Vieux Caire (le quartier copte où se trouvent la forteresse de Babylone et le musée copte) ainsi que le quartier islamique, classé au patrimoine mondial de l’humanité, où se trouvent la citadelle de Saladin et le grand souk (Khân-al-Khalili).
Le Caire compte également de nombreuses mosquées, dont la mosquée Al-Azhar qui abrite également l’une des plus anciennes universités au monde. Centre névralgique de la ville moderne, la place Tahrir est devenu l’emblème de la révolution égyptienne de 2011.
À l’ouest, se trouvent la ville de Gizeh et la nécropole antique de Memphis, avec ses trois grandes pyramides, dont la pyramide de Khéops. Au sud, se trouve le site de l’antique ville égyptienne de Sakkarah.
A ne pas rater
Le nécropole et plateau de Gizeh

La nécropole de Gizeh se situe sur un plateau dans le désert, à huit kilomètres du centre-ville et à vingt-cinq kilomètres du Caire. C’est un complexe pyramidal de Gizeh est l’ensemble des pyramides égyptiennes situées dans la nécropole de Gizeh et situé sur le plateau de Gizeh. Ce complexe pyramidal égyptien est classé au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1979. Les trois plus grandes et plus célèbres des pyramides d’Égypte, celles de Khéops, Khéphren et Mykérinos, se trouvent sur la nécropole de Gizeh. Haut lieu touristique grâce à la présence des pyramides, dont celle de Khéops qui reste classée parmi les Sept Merveilles du monde depuis l’Antiquité.
La pyramide de Khéops

C’est un monument construit par les Égyptiens de l’Antiquité, formant une pyramide à base carrée. Tombeau présumé du pharaon Khéops, elle fut édifiée il y a plus de 4500 ans, sous la IVe dynastie, au centre du complexe funéraire de Khéops se situant à Gizeh en Égypte. Elle est la plus grande des pyramides de Gizeh. Elle était considérée dans l’Antiquité comme la première des Sept Merveilles du monde. Seule des Sept Merveilles du monde à avoir survécu jusqu’à nos jours, elle est également la plus ancienne. Durant des millénaires, elle fut la construction humaine de tous les records : la plus haute, la plus volumineuse et la plus massive. Ce monument phare de l’Égypte antique est depuis plus de 4500 ans scruté et étudié sans relâche.
La pyramide de Khéphren

C’est la deuxième pyramide d’Égypte en taille. Dominant un complexe composé de deux temples reliés par une chaussée et d’une pyramide satellite, elle est de type à faces lisses et fut élevée sous la IVe dynastie durant l’Ancien Empire pour le pharaon Khéphren, fils de Khéops. Elle se dresse sur le plateau de Gizeh au sud-ouest de celle de son père. Elle est sans doute la plus facile à reconnaître, car son sommet est encore couvert de calcaire. Légèrement plus petite que celle de Khéops, elle paraît plus haute, car elle fut érigée sur une proéminence rocheuse avec un angle d’inclinaison supérieur à celui de la Grande pyramide. Le temps a également préservé un temple d’accueil dont la sobriété et la composition subtile des matériaux font un véritable joyau de l’Ancien Empire.
La pyramide de Mykérinos

C’est la plus petite des trois grandes pyramides du plateau de Gizeh. Elle s’élève à la hauteur de 63 mètres à l’extrémité Sud du plateau, ne représentant qu’un dixième du volume de la plus grande, la pyramide de Khéops.Dominant un complexe composé de deux temples reliés par une chaussée et de trois pyramides satellites, elle est de type à faces lisses et fut élevée sous la IVe dynastie durant l’Ancien Empire pour le pharaon Mykérinos. De nombreux signes d’inachèvement montrent que la mort du souverain intervint au cours de l’édification du monument. Tout autour du monument royal de Mykérinos se trouvent des nécropoles et d’autres tombes princières ou de reines venant compléter et accompagner la tombe du roi dont le culte fut maintenu tout au long de l’Ancien Empire. Le temps a également préservé un temple d’accueil dont la sobriété et la composition subtile des matériaux font un véritable joyau de l’Ancien Empire.
Sphinx de Gizeh

Le Sphinx de Gizeh est la statue thérianthrope qui se dresse devant les grandes pyramides du plateau de Gizeh, en Basse-Égypte. Sculpture monumentale monolithique la plus grande du monde avec 73,5 mètres de longueur, 14 mètres de largeur et 20,22 mètres de hauteur, elle représente un sphinx couchant. Réalisée vers -2500, elle serait attribuée à Djédefrê, l’un des pharaons de la IVe dynastie, représentant son père le pharaon Khéops. Au pied du sphinx, se trouve une stèle de granit rose placée entre ses pattes par Thoutmosis IV. Taillée directement dans le roc, cette « stèle du rêve » (appelée aussi « stèle du songe ») raconte le mythe du songe de Thoutmosis IV alors qu’il était venu chasser sur le site.
Stèle du songe

Un jour, il advint que le fils royal Thoutmosis, qui allait se promener à l’heure de midi, se reposa à l’ombre de ce grand dieu ; la torpeur du sommeil le saisit, au moment où le soleil était à son zénith. Il s’aperçut alors que la Majesté de ce dieu auguste lui parlait, de sa bouche même, comme un père parle à son fils, disant : regarde-moi, contemple-moi, ô mon fils Thoutmosis ; je suis ton père, Horakhéty-Khépri-Râ-Atoum ; je te donnerai la royauté sur terre, à la tête des vivants, tu porteras la couronne blanche et la couronne rouge sur le trône de Geb, le prince. La terre t’appartiendra en sa longueur et sa largeur, et tout ce qu’illumine l’œil brillant du maître de l’Univers. Voilà que maintenant le sable du désert me tourmente, le sable au-dessus duquel j’étais autrefois ; aussi, hâte-toi vers moi, afin que tu puisses accomplir tout ce que je désire.
Barque solaire

C’est un artefact découvert en 1954 dans la nécropole de Gizeh, en Égypte. Il s’agit d’une barque solaire grandeur nature, entreposée démontée dans une fosse au pied de la pyramide de Khéops. Le navire a été construit presque certainement pour Khéops, le deuxième pharaon de la IVe dynastie de l’Ancien Empire égyptien. Comme les autres navires égyptiens antiques enterrés, il faisait apparemment partie des nombreux objets funéraires destinés à être utilisés dans l’au-delà. Depuis de début de 2022, elle a été transférée au Grand Musée Égyptien.
Nécropole de Saqqarah

C’est une vaste nécropole de la région de Memphis. Elle connaît une occupation ininterrompue tout au long de l’histoire de l’Égypte antique : de ce fait, tombes royales et sépultures plus modestes se côtoient et présentent de nombreux témoignages sur la vie quotidienne de l’Égypte ancienne. Dès les premières dynasties, les rois et les membres de l’aristocratie y font bâtir leur mastaba. La tombe la plus ancienne (numérotée 3357) remonte au règne de Hor-Aha, le deuxième souverain de la Ière dynastie. La première pyramide est édifiée par Imhotep, l’architecte de Djoser (IIIe dynastie) vers -2600. On s’accorde à dire qu’il s’agit là du premier édifice en pierre de l’Égypte. Cette vaste enceinte, enfermant des cours et répliques de temples de l’époque, nous laisse un témoignage pétrifié inestimable des sanctuaires des premiers temps. Nécropole royale sous l’Ancien Empire, le site se développe autour des pyramides royales des Ve et VIe dynasties.
Pyramide de Djoser

Il est édifié sous le règne du pharaon Djoser et se situe à Saqqarah, en Égypte. Il est, dans l’histoire de l’architecture égyptienne, le second ouvrage édifié en pierre de taille. Il marque une évolution importante de l’architecture monumentale. En effet, le tombeau du pharaon prend, pour la première fois et après de multiples modifications, la forme d’une pyramide. Cette innovation marque la naissance d’un nouveau type de sépulture. Les éléments cultuels ainsi que l’enceinte à redans représentent l’aboutissement d’une architecture évoluant depuis la IIe dynastie. Le tremblement de terre du 12 octobre 1992 a sérieusement affecté les infrastructures de la pyramide. La voûte du grand puits funéraire et les plafonds de plusieurs galeries souterraines menaçant de s’effondrer, une mission de sauvegarde a été commandée par le Conseil suprême des Antiquités égyptiennes afin de mener à bien leurs restaurations. A ce jour, vous pouvez visiter son intérieur.
Pyramide de Pépi I

Pépi Ier s’est fait construire une pyramide dans le sud de Saqqarah. La pyramide principale a été construite de la même manière que les autres depuis Djedkarê Isési : un noyau à six degrés construit à partir de petits blocs de calcaire grossièrement taillés et liés entre eux à l’aide de mortier d’argile enrobé de blocs de calcaire fin. La pyramide, aujourd’hui détruite, avait une base carrée de 78,75 m de côté, soit 150 coudées, convergeant vers le sommet à ~53° et mesurait autrefois 52,5 m, soit 100 coudées de haut. Ses restes forment aujourd’hui un petit monticule de 12 m43, contenant en son centre une fosse creusée par des voleurs de pierre. On accédait aux infrastructures de la pyramide par la chapelle nord, aujourd’hui disparue. Depuis l’entrée, un couloir descendant donne accès à un vestibule qui mène au passage horizontal. A mi-chemin du passage, trois herses en granit gardent les chambres. Comme dans les pyramides précédentes, l’infrastructure contient trois chambres : une antichambre sur l’axe vertical des pyramides, un serdab à trois cavités à l’est, et une chambre funéraire contenant le sarcophage du roi à l’ouest. Extraordinairement, le coffre canope en granit rose qui était enfoncé dans le sol au pied du sarcophage est resté intact. On a découvert à côté des restes de viscères dont on présume qu’ils appartiennent au roi. On ignore la provenance d’un fragment de momie et des enveloppes de lin fin découverts dans la chambre funéraire, mais on suppose qu’ils appartiennent à Pépi Ier.
Pyramide de Pépi II

La pyramide de Pépi II est une pyramide à textes située à Saqqarah sud en Égypte. Il s’agit du dernier complexe pyramidal de l’Ancien Empire. La superstructure était autrefois composée d’un monument à six étages ou degrés, achevés en pyramide à faces lisses. Elle s’élevait alors à un peu plus de cinquante-deux mètres pour une base de plus de soixante-dix-huit de côté. Sur la face nord de la pyramide, une chapelle avait été construite afin d’abriter l’accès au dispositif souterrain menant à la chambre funéraire. Une descenderie mesurant un peu plus de vingt mètres de longueur prend donc son point de départ sur la face nord du monument, sous le dallage du péribole auparavant protégé par la chapelle nord. Obstruée à l’origine par quatre bouchons de granit, elle mène à un vestibule dont le plafond a reçu un décor peint d’étoiles à cinq branches, blanches sur un fond noir, orientées vers l’ouest. Il suit un couloir horizontal, lui-même barré par trois herses de granit. Ce couloir, dont les murs ont reçu un premier décor de textes des pyramides, aboutit à une antichambre suivie de la chambre funéraire. Les chambres sont couvertes d’une imposante voûte de dix-huit monolithes disposés en chevrons. La chambre funéraire, dont les parois étaient couvertes de textes, mesurait un peu plus de trois mètres de largeur pour près de huit de longueur. Devant se trouve le sarcophage en grauwacke dont la cuve mesurait près de trois mètres de longueur pour environ un mètre trente de largeur sur une hauteur d’un mètre vingt. Encore visible sur place, il n’a pas été poli et n’a reçu aucune trace d’un projet d’inscription. Des fragments d’une caisse à canopes en albâtre ont été trouvés devant le sarcophage.
Sérapéum de Saqqarah

C’est une nécropole antique consacrée au taureau sacré Apis, située au nord du complexe funéraire de Djoser. Le taureau, vénéré comme un dieu, était momifié et enseveli à l’issue d’une vie toute consacrée à des cérémonies et des offrandes dans son temple de Memphis. L’origine de cette nécropole remonte à la XVIIIe dynastie. Sa fondation serait l’œuvre d’Amenhotep III et sa première extension magistrale au règne de Ramsès II. Il ne cessera alors d’être agrandi sous les règnes suivants et jusqu’à la fin de l’époque pharaonique, à l’aube de l’époque chrétienne. Le fils de Ramsès II, Khâemouaset, grand prêtre de Ptah, passé à la postérité par des légendes le qualifiant de grand magicien, laisse des stèles et inscriptions relatant la restauration des tombes d’Apis ainsi que l’inauguration de la grande catacombe qui ne cesse alors de s’agrandir pour accueillir les dépouilles momifiées des taureaux sacrés. Mort avant son père, Khâemouaset fut inhumé dans le Sérapéum. D’autres sanctuaires dédiés à Anubis et à Bastet sont édifiés à côté de catacombes enfermant dans des galeries interminables quantités de momies animales, témoins de la ferveur populaire pour les cultes d’animaux sacrés.
Anoubeieion de Saqqarah

C’est un temple de l’Égypte antique consacré au dieu chacal Anubis. Aujourd’hui arasé, situé à l’est de la pyramide de Téti dans la nécropole de Saqqarah et édifié à l’extrémité orientale du dromos conduisant au Sérapéum, un sanctuaire dédié du dieu taurin Apis. L’Anoubieion, selon l’usage, servait de lieu d’embaumement. Une plaque de bois a conservé la supplique adressée à Ptolémée X, en 99 av. J.-C., par un nommé Peteese, maître embaumeur, qui se plaignait d’avoir été maltraité par certaines personnes : le roi lui adresse, sur la même tablette, une garantie de protection pour lui et ses biens, revêtus de son sceau, et en fait adresser une copie au stratège du nome de Memphis.
Bubasteion de Saqqarah

Le Bubasteion de Saqqarah désigne en grec le temenos, périmètre consacré à la déesse Bastet, à son sanctuaire et à ses catacombes, situé à l’entrée de la nécropole de Memphis. Mais ce terme, datant de la période Ptolémaïque, remonte au moins dès le Nouvel Empire à la présence à Saqqarah d’un temple consacré à cette déesse chatte, Bastet dame d’Ânkhtaouy, du nom d’un quartier de Memphis qui avait une sorte d’« annexe » dans la nécropole.
Pyramide de rhomboïdale

La première caractéristique évidente de la pyramide est son aspect en double pente qui est le résultat d’un changement de plan intervenu durant la construction. La seconde caractéristique est le doublement de sa distribution interne. Deux chambres funéraires sont accessibles par deux entrées, l’une située sur la face nord et l’autre sur la face ouest. La pyramide possède également deux entrées, mais elles sont situées toutes les deux sur le côté nord du monument. L’entrée nord-est située à 11,80 mètres au-dessus du niveau du sol. Il s’agit de la seule pyramide ayant conservé son entrée intacte au niveau du parement. L’architrave est composée d’un seul bloc de 3,18 mètres de long sur 1,50 de hauteur, bien plus gros que les pierres composant le parement et rendant nettement discernable la position de l’entrée. L’entrée ouvre sur un couloir descendant de 78,60 mètres et d’une pente de 28° sur les 12,60 premiers mètres puis de 26°. Le couloir conduit à un corridor dont le sol est situé à 22,40 mètres au-dessous du niveau du sol. Ce corridor est haut de 12,60 mètres et possède une voûte en encorbellement. La chambre inférieure offre un accès au sud, surplombé par un petit couloir remplissant le rôle de voûte en encorbellement. Ce conduit aboutit à un haut puitsde 8,90 mètres qui s’avèrent être la superposition de deux cavités probablement obturées initialement par deux herses, comme semble lui indiquer un bloc de calcaire reposant encore au bord de la cavité inférieure.
Pyramide Rouge

Son nom est inspiré par la teinte de son parement actuel est la troisième pyramide d’Égypte par ses dimensions. Elle se situe à Dahchour et est attribuée au pharaon Snéfrou de la IVe dynastie. Elle représente la première tentative réussie de pyramide à faces lisses. La pyramide, construite en blocs de calcaire provenant d’une carrière locale, qui doivent leur couleur rouge à leur richesse en fer et en manganèse, était à l’origine revêtue de blocs de calcaire fin de Tourah. Elle est alignée sur les points cardinaux. Sa base ne constitue pas un carré parfait ; l’égyptologue George Andrew Reisner en a mesuré les dimensions : d’ouest en est 221,50 mètres et du nord au sud 218,50 mètres. Sa hauteur est de 104,40 mètres, soit un peu moins que sa voisine la pyramide rhomboïdale. L’entrée est située sur la face nord, à quelque vingt-huit mètres au-dessus de la base.
Un couloir, dont l’angle d’inclinaison est de 27° et la longueur de 62,63 mètres, aboutit à un tronçon horizontal de 7,40 mètres. Ce dernier nous permet d’accéder à deux antichambres exécutées en pierres calcaires et couvertes de superbes voûtes en encorbellement sur deux faces. La deuxième, localisée exactement sous le centre de la pyramide, est munie d’une ouverture située dans le mur sud à une hauteur de 7,60 mètres. Cette ouverture donne sur un passage long de sept mètres qui mène à la grande chambre funéraire qui, elle aussi, est couverte d’une voûte en encorbellement sur deux faces, en pierres calcaires. Le revêtement du sol de la chambre a disparu.
Pyramide de Meïdoum

La pyramide de Meïdoum est une pyramide, initialement à sept degrés, puis élargie à huit degrés et enfin transformée pour devenir la première pyramide à faces lisses égyptienne. Elle est attribuée à Snéfrou, premier roi de la IVe dynastie, et se situe à Meïdoum à l’entrée du Fayoum.De cette pyramide qui, finalement, devait mesurer, 147 mètres de côté à la base et 93,50 mètres de haut, il ne reste aujourd’hui que le noyau central culminant à soixante-dix mètres. Ce noyau est constitué de blocs posés à lit déversé vers l’intérieur, ce qui lui confère la forme d’une pyramide tronquée aux pentes raides. Les ajouts périphériques y ont été appliqués sans maçonnerie et ne tenaient en place que par leur propre poids. L’entrée de la pyramide à onze mètres au-dessus du sol, mais l’essentiel du travail fut réalisée par Flinders Petrie qui pénétra pour la première fois dans la pyramide en 1881 lors des fouilles effectuées dans la zone entre 1888 et 1891. Une longue descenderie de pente assez raide traverse la masse calcaire de la pyramide sur une profondeur d’une cinquantaine de mètres. Elle aboutit à un couloir horizontal dans lequel se trouvent deux logettes faisant office d’antichambres. Au bout de ce couloir bas de plafond, se trouve un puits vertical par lequel on monte à la chambre funéraire.
Parcs
Parc Al-Azhar

C’est le parc le plus récent du Caire. Ce jardin était autrefois un terrain vague où étaient déversées les ordures de la capitale égyptienne. Financé par l’Aga Khan, il a ouvert ses portes en mars 2005. Le parc offre une profusion de palmiers royaux, de manguiers, d’acacias ou de bougainvillées, des parterres fleuris et des pelouses. Il est situé juste au Nord de la citadelle. Il a été complètement rénové ces dernières années.
Places
Place Tahrir

La place Tahrir, littéralement « place de la Libération » (parfois traduit par place de l’Indépendance) est une des principales places publiques du Caire, en Égypte. Centre névralgique de la capitale égyptienne, la place Tahrir est situé à la jonction de plusieurs axes importants : la rue Talaat Harb, la rue al-Mogamma et l’avenue at-Tahrir. Elle est située à 200 m du Nil, sur la rive orientale, près du pont Qasr al-Nil. Un gigantesque rond-point occupe le centre de la place, emprunté en permanence par un important trafic automobile. La voie Qasr al-Nil traverse la place dans sa partie sud, vers le pont Qasr al-Nil sur le Nil. La place Tahrir est bordée d’édifices assez disparates : à l’ouest, les hôtels Nile Hilton, édifiés à l’emplacement de l’ancien palais du Nil, et Concorde. Au sud, la mosquée Omar Makram, où sont célébrées les obsèques nationales. L’immeuble Mogamma, de style soviétique, où travaillent des milliers de fonctionnaires, également sur le côté sud de la place. Sur le côté ouest, le siège de la Ligue arabe. Au nord de la place, le musée égyptien ; l’ancien siège du parti national démocratique ; l’université américaine du Caire, de style néo-mauresque. Les rues adjacentes sont bordées d’immeubles de bureau, de boutiques et de cafés.
Le Caire historique

Le Caire islamique fait partie du centre du Caire, autour de la vieille ville fortifiée et de la citadelle du Caire, qui se caractérise par des centaines de mosquées, de tombeaux, de madrasas, de manoirs, de caravansérails et de fortifications datant de l’ère islamique. Enserrée dans l’agglomération moderne du Caire se trouve l’une des plus anciennes villes islamiques du monde. Fondé au Xe siècle, Le Caire islamique est devenu le nouveau centre du monde islamique et il a atteint son âge d’or au XIVe siècle.
Tour du Caire

Elle est située sur l’île de Gezira dans le quartier résidentiel de Zamalek au Caire. La tour du Caire, représentant un tressage en osier et dont le sommet symbolise une fleur de lotus et fut construit par l’architecte Naoum Chebib. Elle fait 187 mètres de haut et fut achevée en 1961. Au sommet, une salle de restaurant rotative, qui effectue le tour complet en vingt minutes, permet une vue panoramique vers tous les horizons du Caire. On aperçoit ainsi :
- à l’ouest de l’autre côté du pont du 6 octobre sur le Nil, le musée égyptien
- à l’opposé, si la brume de pollution le permet, les pyramides sur le plateau de Gizeh
- au pied nord de la tour, le Gezira Sporting Club, avec piscines, courts de tennis, et terrain de football
- à environ 300 mètres au sud de l’île, les bâtiments de l’Opéra du Caire
Opéra Khédival

Situé au sud de l’île de Gezira à 280 m. de la Tour du Caire. L’Opéra est inauguré le 1 novembre 1869, avec une représentation de Rigoletto, de Verdi.
L’opéra du Caire est détruit par un incendie le 28 octobre 1971. Il fut reconstruit, grâce à l’aide financière du Japon, et le nouveau bâtiment est inauguré, le 10 octobre 1988, par le président Mohamed Hosni Moubarak, en présence du prince Tomohito de Mikasa, frère de l’empereur du Japon. Son architecture, due à un architecte japonais, rappelle les formes géométriques islamiques et reprend la tradition des “mashrabiyyas” ou portes sculptées. L’Opéra du Caire comporte sept théâtres :
- le grand théâtre (1’200 places)
- le petit théâtre (350 places)
- le théâtre ouvert (600 places)
- le théâtre d’El Gomhoria (648 places)
- le théâtre de musique arabe (300 places)
- le théâtre de Saïd Darwich (1’000 places)
- le théâtre romain à Kom El Deka (650 places)
L’Opéra possède des salles de répétition, des salles de formation, des classes, des chambres et des vestiaires pour les artistes, des ateliers de fabrication de décors et d’habillement, d’un musée, d’une salle d’exposition, d’une médiathèque musicale et d’un restaurant.
Shopping
Place Tahrir

La place Tahrir, littéralement « place de la Libération » (parfois traduit par place de l’Indépendance) est une des principales places publiques du Caire, en Égypte. Centre névralgique de la capitale égyptienne, la place Tahrir est situé à la jonction de plusieurs axes importants : la rue Talaat Harb, la rue al-Mogamma et l’avenue at-Tahrir. Elle est située à 200 m du Nil, sur la rive orientale, près du pont Qasr al-Nil. Un gigantesque rond-point occupe le centre de la place, emprunté en permanence par un important trafic automobile. La voie Qasr al-Nil traverse la place dans sa partie sud, vers le pont Qasr al-Nil sur le Nil. La place Tahrir est bordée d’édifices assez disparates : à l’ouest, les hôtels Nile Hilton, édifiés à l’emplacement de l’ancien palais du Nil, et Concorde. Au sud, la mosquée Omar Makram, où sont célébrées les obsèques nationales. L’immeuble Mogamma, de style soviétique, où travaillent des milliers de fonctionnaires, également sur le côté sud de la place. Sur le côté ouest, le siège de la Ligue arabe. Au nord de la place, le musée égyptien ; l’ancien siège du parti national démocratique ; l’université américaine du Caire, de style néo-mauresque. Les rues adjacentes sont bordées d’immeubles de bureau, de boutiques et de cafés.
Le Caire historique

Le Caire islamique fait partie du centre du Caire, autour de la vieille ville fortifiée et de la citadelle du Caire, qui se caractérise par des centaines de mosquées, de tombeaux, de madrasas, de manoirs, de caravansérails et de fortifications datant de l’ère islamique. Enserrée dans l’agglomération moderne du Caire se trouve l’une des plus anciennes villes islamiques du monde. Fondé au Xe siècle, Le Caire islamique est devenu le nouveau centre du monde islamique et il a atteint son âge d’or au XIVe siècle.
Tour du Caire

Elle est située sur l’île de Gezira dans le quartier résidentiel de Zamalek au Caire. La tour du Caire, représentant un tressage en osier et dont le sommet symbolise une fleur de lotus et fut construit par l’architecte Naoum Chebib. Elle fait 187 mètres de haut et fut achevée en 1961. Au sommet, une salle de restaurant rotative, qui effectue le tour complet en vingt minutes, permet une vue panoramique vers tous les horizons du Caire. On aperçoit ainsi :
- à l’ouest de l’autre côté du pont du 6 octobre sur le Nil, le musée égyptien
- à l’opposé, si la brume de pollution le permet, les pyramides sur le plateau de Gizeh
- au pied nord de la tour, le Gezira Sporting Club, avec piscines, courts de tennis, et terrain de football
- à environ 300 mètres au sud de l’île, les bâtiments de l’Opéra du Caire
Opéra Khédival

Situé au sud de l’île de Gezira à 280 m. de la Tour du Caire. L’Opéra est inauguré le 1 novembre 1869, avec une représentation de Rigoletto, de Verdi.
L’opéra du Caire est détruit par un incendie le 28 octobre 1971. Il fut reconstruit, grâce à l’aide financière du Japon, et le nouveau bâtiment est inauguré, le 10 octobre 1988, par le président Mohamed Hosni Moubarak, en présence du prince Tomohito de Mikasa, frère de l’empereur du Japon. Son architecture, due à un architecte japonais, rappelle les formes géométriques islamiques et reprend la tradition des “mashrabiyyas” ou portes sculptées. L’Opéra du Caire comporte sept théâtres :
- le grand théâtre (1’200 places)
- le petit théâtre (350 places)
- le théâtre ouvert (600 places)
- le théâtre d’El Gomhoria (648 places)
- le théâtre de musique arabe (300 places)
- le théâtre de Saïd Darwich (1’000 places)
- le théâtre romain à Kom El Deka (650 places)
L’Opéra possède des salles de répétition, des salles de formation, des classes, des chambres et des vestiaires pour les artistes, des ateliers de fabrication de décors et d’habillement, d’un musée, d’une salle d’exposition, d’une médiathèque musicale et d’un restaurant.
Musées
Le musée Copte

Situé à proche de l’extrémité de l’île d’Al Manyal, le Musée Copte est le plus riche musée du monde en art copte grâce à une collection d’objets, de tissus, d’icônes et de manuscrits dont le cœur comprend des artefacts produits entre le IVe et le XXe siècle. L’entrée principale est une des deux constructions les plus anciennes du Caire, les tours rondes de la porte occidentale de la forteresse romaine de Babylone construite en 98 par l’empereur Trajan. Une deuxième entrée mène dans le monastère et l’église Saint-Georges, construite en 1909, sur l’emplacement d’une église copte du Xe siècle. Une autre porte mène au cimetière orthodoxe grec, qui entoure le quartier à l’est. Près de 16 000 pièces, disposées chronologiquement, sont exposées dans douze sections différentes. Le musée abrite la bibliothèque de Nag Hammadi, une collection de textes gnostiques de la période paléochrétienne, retrouvés en 1945, dont le plus célèbre est sans doute le seul exemplaire complet de l’Évangile selon Thomas.
Le musée Égyptien

Il est situé proche de la place Tahrir, aucun circuit de l’Égypte n’est complet sans une visite au Musée égyptien du Caire. Plus de 160 000 objets sont aujourd’hui exposés, mais la pièce maîtresse du musée est bien sûr le fabuleux trésor de Toutânkhamon. Le musée abrite une incroyable collection de pièces exposées qui dépeignent le règne glorieux de l’Égypte ancienne. Le musée est consacré, uniquement, à l’historique de l’art égyptien et son évolution au fil des siècles, l’histoire de l’archéologie et l’histoire du musée lui-même. Le trésor de Toutânkhamon va être déplacé dans le courant de l’année 2022 pour le Grand Musée Égyptien à Gizeh. A priori, l’actuel musée de la place Tahrir sera consacré uniquement à l’historique de l’art égyptien et son évolution au fil des siècles, l’histoire de l’archéologie, et l’histoire du musée lui-même.
Grand Musée Égyptien

Le Grand Musée égyptien est un musée en fin de construction situé près des pyramides de Gizeh. Ce musée, qui s’étendra sur cinquante hectares, est situé à moins de trois kilomètres des pyramides de Gizeh; afin de ne pas détruire l’harmonie du plateau, il est construit cinquante mètres en contrebas. Ce Grand Musée égyptien a des dimensions hors normes qui en font l’un des plus grands musées du monde.
Il a la forme d’une flèche de cinq cents mètres de long orientée vers les pyramides ; les parois sont en albâtre avec des motifs triangulaires évoquant les pyramides ; en transparence, une animation lumineuse permet de faire changer leur couleur de jour comme de nuit.
L’édifice comporte un auditorium de mille places, un cinéma équipé en IMAX 3D, une médiathèque/bibliothèque, un centre de recherche et un institut scientifique. Les chercheurs disposent d’un centre de conservation ultramoderne, équipé de cinq laboratoires.
Ces objets seront présentés selon cinq thèmes : « Terre d’Égypte », « Parenté et monarchie », « L’Homme, la société et le travail », « Religion et culture », « Scribe et savoir ». Parmi les pièces les plus importantes qui seront exposées, il est prévu d’y transférer la totalité de la collection, unique au monde, du tombeau de Toutânkhamon, dont les éléments déménagés dès 2010 sont nettoyés, traités et étudiés par les conservateurs de ce nouveau musée. Il est également prévu que ce grand musée accueille les momies royales et le trésor découvert dans les tombes royales de Tanis.
Le colosse de Ramsès II, longtemps exposé sur la place de la gare du Caire, a été transféré vers le Grand Musée le 25 août 2006. Après des soins de nettoyage et de restauration, il a été érigé en 2018 dans le hall d’entrée du musée.
On pourra aussi y voir, à travers des effets visuels, les pièces égyptiennes les plus importantes qui se trouvent dans des musées étrangers, comme le buste de Néfertiti, actuellement à l’Ägyptisches Museum de Berlin, ou la pierre de Rosette qui se trouve au British Museum de Londres.
Le musée d’Imhotep

Il est situé à l’entrée du complexe de Saqqarah, à 35 minutes en voiture du plateau de Gizeh. Ce petit musée d’un étage à droite sur la route qui mène au complexe funéraire de Djoser ne dépare pas dans le paysage sablonneux. Ce musée, voulu par Jean-Philippe Lauer qui a passé sa vie sur le site de Saqqarah, a été inauguré en avril 2006, après plus de dix ans de travaux de construction. Une salle du musée porte le nom de Jean-Philippe Lauer en hommage à l’œuvre qu’il a réalisé durant tant d’années et où sont exposés ses livres, ses découvertes et ses objets personnels comme son appareil photo et son chapeau. La deuxième salle, de nom Style de Saqqarah, regroupe des objets utilisés dans le quotidien, vaisselle en pierre et en albâtre et des statues en bois. Une autre salle, baptisée Tombeaux de Saqqarah, accueille de vraies tombes et momies découvertes dans la région.
Le musée de Memphis

Il est situé à quelques kilomètres de la nécropole de Saqqarah, ce musée à ciel ouvert où se trouvent des dizaines de reliques du pays, dont deux des plus importantes statues égyptiennes. Le colosse de Ramsès II, bien qu’il lui manque une partie des jambes, cette statue colossale mesure 13 mètres de haut et possède de très beaux détails. Pour nous, c’est l’un des joyaux du pays. Le sphinx d’Albâtre est sculpté dans un seul morceau d’albâtre, ce sphinx mesure 4 mètres de haut, 7 mètres de long et pèse 80 tonnes. À cause de ces caractéristiques, on pense qu’il avait appartenu à la reine Hatchepsout. Pour nous, la seule chose digne d’intérêt à Memphis est la statue colossale de Ramsès II. Je vous recommande de combiner ce musée avec la visite de la nécropole Saqqarah avant de vous diriger vers les pyramides de Dhachour.
Cultures
Citadelle du Caire

La silhouette de la citadelle est dominée par les coupoles et les minarets de la mosquée d’albâtre de Méhémet Ali, de style turc, achevée en 1857. Elle offre une vue panoramique sur le Caire et la cité des morts, cimetière des sultans mamelouks, aujourd’hui habitée par des sans-logis. Au pied de la citadelle, se trouve la mosquée du sultan Hassan, un des plus beaux édifices d’époque mamelouk du XIVe siècle. En échange des obélisques offert en 1830 par Méhémet Ali, vice-roi d’Égypte, le roi de France Louis-Philippe Ier fait don en 1845 d’une horloge en cuivre qui orne aujourd’hui la citadelle du Caire. Pour l’anecdote, l’horloge ne fonctionna jamais, du moins aux dires des Cairotes, ayant été probablement endommagée lors de la livraison.
Mosquée du Sultan Hassan

Elle est située à Masged & Madraset Soltan Hassan et proche en dessous de la citadelle du Caire. C’est un complexe religieux islamique de la ville du Caire et est caractéristique de l’architecture mamelouk. Elle fut édifiée à partir de 1356 sur l’ordre du sultan An-Nâsir al-Hasan. Formant un vaste complexe de 7900 m², il regroupe une mosquée et une madrasa, l’ensemble s’articulant autour d’une cour intérieure ou sahn. De part et d’autre de cette cour centrale pavée, s’ouvrent quatre grandes et profondes arcades ou iwan. Des accès permettent d’atteindre les quatre madrasas que compte le complexe ainsi que les cellules des étudiants. Les murs sont recouverts de marbre polychrome, avec un bandeau de citations coraniques en caractères coufiques qui court à mi-hauteur, tandis que cinquante luminaires descendent des voûtes en arc brisé. Une porte ménagée dans le mur de la qibla permet d’accéder au mausolée du sultan. Les murs de cette vaste salle rectangulaire révèlent un agencement tripartite, intégrant les décors de marbre polychrome et bandeau de bois orné d’inscriptions coraniques ou honorifiques en lettres blanches. Les dimensions du complexe en font un des plus importants sanctuaires de la capitale égyptienne : sa longueur est ainsi de près de 155 m, tandis que le plus haut de ses deux minarets culmine à 81,6m².
Mosquée Mohammed Ali

Située à proche de la mosquée du Sultan Hassan, elle est inscrite dans le périmètre de l’antique citadelle de Saladin, elle doit sa construction au vice-roi Muhammad Ali Pacha, qui lui a laissé son nom. Cet édifice emblématique du Caire fut édifié de 1830 à 1848 et il s’inspire largement de l’architecture traditionnelle ottomane. D’un point de vue architectural, la mosquée s’inspire largement des canons ottomans. Elle reprend le plan des grandes mosquées impériales telles que la mosquée bleue, dont elle s’inspire largement. Ainsi, la mosquée Mohammed Ali lui emprunte la cour carrée à ciel ouvert et bordée d’arcades et de la cascade de dômes et de demi-dômes. La salle de prière forme un ensemble quadrangulaire s’articulant autour de la coupole centrale, laquelle atteint une hauteur de 52 mètres pour un diamètre de 21 mètres. Elle est contrebutée par une série de quatre demi-dômes, que viennent encore compléter quatre coupoles plus petites à chacun des angles du sanctuaire. Toutes sont ornées dans leur partie interne de peintures et de dorures, tandis que les murs de la mosquée intègrent de hauts panneaux d’albâtre s’élevant à plus de onze mètres. La mosquée abrite le tombeau en marbre de Mohammed Ali, lequel a été ménagé dans la partie sud-est du sanctuaire.
Mosquée Ibn Touloun

Elle se trouve non loin de la citadelle de Saladin et de la mosquée du Sultan Hassan. C’est la plus ancienne mosquée de cette ville qui soit dans son état originel et d’ailleurs le plus ancien monument islamique du pays. La mosquée est aussi la plus vaste en termes de surface au sol. Elle a un minaret en forme de spirale qui rappelle celui de la Grande Mosquée de Samarra. La mosquée est construite en briques, les décors sont sculptés dans le stuc. Au-dessus des arcs, le bois est lui aussi sculpté avec des textes du Coran.
Terrestre
Activités terrestres
Gezira Sporting Club

Construit en 1882, ce terrain de golf est le plus ancien d’Afrique et probablement le plus ancien au Moyen-Orient. Il s’est efforcé de survivre à travers plus d’un siècle de changements historiques et politiques qui allaient à l’encontre de sa présence. Ce terrain est ouvert à tous les visiteurs. Vous êtes libres de visiter à tout moment, ce site légendaire situé au milieu de l’effervescence du centre-ville du Caire et de faire un parcours de golf dans le décor verdoyant de l’île fertile de Gezira.
Situation | Zamalek |
Nombres de trous | 9 |
Par | 7 |
Longueur | 5360 m. |
De nombreuses visites vous attendent dans cette station balnéaire. Notre partenaire pourra vous organiser des excursions terrestres moyennant finances telles que :
- Balade en chameau
- Quad
- Randonnée
- Cyclisme
- Équitation
Aquatique
Activités aquatiques

De nombreux hôtels disposant de piscine afin de vous détendre dans cette ville au mille et un visage.
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